Retour accueil Contribution à une musique indépendante, libre et d’attaque à Paris




::: Concert du lundi 21 mars 2005 :::
en collaboration avec les Instants Chavirés
Instants Chavirés , 7 rue Richard-Lenoir , Montreuil, M° Robespierre, tarif unique 7€.



ZU (roma:ita)
Massimo PUPILLO
basse
Jacopo BATTAGLIA batterie
Luca MAI saxophones

suivi de
PAK (nyc:usa)
Ron ANDERSON
guitare, trompette de poche, voix
Jesse KRAKOW basse, voix
Keith ABRAMS batterie

suivi de
Ron ANDERSON'S PAK + Jac BERROCAL
Ron ANDERSON
guitare, trompette de poche, voix
Jesse KRAKOW basse, voix
Keith ABRAMS batterie
Jac BERROCAL trompette, voix


Trio romain aux connotations jazz et hardcore. Le sax (alto, tenor) free et dissonant s'oppose à une section rythmique basse-batterie qui déroule des structures métronomiques faisant penser à Shellac ou No Means No. Le dernier enregistrement est sorti sur Wallace Records (Lp Igneo), enregistré par S.Albini (soit dit en passant, même si actuellement Albini n'est pas gage de qualité et sert souvent de caution à la vente, là nous pensons que c'est justifié...). Parmi les collaborations à noter : un album avec Eugene Chadbourne, le sax Ken Vandermark... Enfin, depuis quelques années, ces italiens lacèrent littéralement l'europe de leurs tournées marathoniennes de Moscou à Londres en passant par Coppenhage et Zagreb.

www.zuism.com
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Considéré comme l'un des groupes les plus excitants et époustouflant sur scène actuellement, PAK déverse un mélange d'influences venant de Zappa, Magma, Ruins et Captain Beefheart avec leur propre mixture prog/punk unique en son genre et qui atteint par moment des sommets. Extrêmement précis, complexe, PAK se décale et se ballade constamment avec une aisance déconcertante au travers d'une myriade de changements rythmiques. Crée par le déjanté Ron Anderson (Molecules, RonRuins, etc...) lors de son retour à New-York en 1999, PAK est annoncé en live comme l'une des plus belle baffe dans la gueule en ce moment par ceux qui les ont vu.

http://www.ronanderson-molecules.com/
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“Depuis le début des années 70, le milieu musical bien-pensant a toujours considéré Jac Berrocal comme un marginal, quelqu'un de suspect, douteux, voire carrément dangereux. Heureusement, sa musique a réussi à offrir son trop-plein de beautés convulsives en dépit des bâtons dans les roues. Ce qui effraya certains, c'est probablement que Berrocal soit autant musicien qu'acteur ou agitateur de formes et de bien d'autres choses.  Totalement hors-normes, hors-modes, donc indémodable.“ Philippe Robert

Photos des concerts par Benoît Grimalt

ZU

PAK

JAC BERROCAL

 

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